INFOS GÉNÉRALES
L’activité de Grande Anse, nom d’origine du quartier, lui permit d’avoir une population de plus de 3.000 habitants en moins d’un siècle. C’est un important site précolombien, doté de plusieurs points de vue exceptionnels. Les Caraïbes n’abandonnèrent la région qu’en 1658, soit quinze ans après l’arrivée des français. Leurs traces ont commencé à être étudiées sur les sites archéologique de Vivé sur la Rivière Capot et de Fonds brûlé, l’un des premiers sites de fouilles en Martinique. Devenue paroisse dès la fin du XVIIème siècle, le Lorrain était une commune de forte production agricole où s’activaient à l’époque de nombreux esclaves. La sanglante répression de « gens libres » (mulâtres) à Noël 1833 sensibilisa la Martinique.
A voir absolument, au Morne Bois, le moulin à cannes de la Famille Jouan où l’on fabrique de la façon la plus traditionnelle du « sirop de batterie » et au quartier L.Vallon, la fabrique artisanale de manioc de la famille Ragald.
Anglais : The activity of Grande Anse, original name of the district, enabled it to have a population of more than 3,000 people in less than a century. This is an important pre-Columbian site, with several exceptional view points. The Caribbean region is abandoned in 1658, fifteen years after the arrival of the French. Their origins began to be studied on archaeological sites of Vivé on Rivière Capot and Fonds brûlé, one of the first excavation sites in Martinique.A small parish in the late seventeenth century, the town of Le Lorrain was a strong agricultural production district which was active with many slaves working there. The bloody crackdown of « gens libres » (mulatres) at Christmas 1833 increased the awareness of Martinique on slavery.
A must see at Morne Bois, the cane mill of the Jouan Family that produces in the most traditional way « cane syrup » and L.Vallon neighborhood , the cassava artisanal factory belonging to the Ragald family .